Nous sommes allés au CDI avec Stéphane, un chorégraphe et danseur de la compagnie Bissextile. Le spectacle qui était prévu mais auquel on n’a pas pu assister s’appelle Dédale.
Ça parle de la mythologie grecque et du labyrinthe inventé par Dédale. Son fils s’appelle Icare et il voulait s’échapper du labyrinthe en se collant des ailes à la cire dans le dos. Mais la cire a fondu.
En parlant de ce qu’on peut ressentir quand on est dans un labyrinthe, on devait fermer les yeux et s’imaginer qu’on entrait dans un labyrinthe. On s’imaginait autour de nous une porte, un mur, des obstacles, un chemin, des feuillages, marcher sur une corde, se déplacer en rampant, passer dans un tunnel ou sur un pont.
C’est difficile de garder les yeux fermés quand tu sais pas où tu vas! Heureusement, une ou plusieurs personnes devaient nous aider et nous prévenir pour éviter de « se prendre un mur ».
Stéphane nous a demandé d’imiter un combat: faire des gestes au ralenti, mimer un combat, faire semblant de tomber et on devait s’arrêter dès que la musique s’arrêtait.
Agathe: « Moi j’avais peur un peu de fermer les yeux! »
Dalèle: « J’ai bien aimé mais parfois c’était stressant de ne pas savoir où j’allais. »
Ihsen: « J’ai bien aimé faire le combat au ralenti. »